Released: November 6, 2020
Featuring: Take A Mic
Songwriter: Take A Mic Abou Tall
Producer: Diabi
[Paroles de "Voie lactée" ft. Take A Mic]
[Refrain : Abou Tall]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
[Couplet 1 : Abou Tall]
Trop d’questions, très peu d’réponses (hey), trop d’défonce, très peu d’raison (umh umh)
Trop d'frères qui perdent la raison ou, tout du moins, j’en ai bien l’impression (umh, no, oh, oh)
J’garde le cap sur ma vision, mes buts et mes ambitions
J’compte as-p jouer les macaques ou me mettre à quatre pattes pour toucher du bifton (non)
Le respеct, le statut, on veut les carеsser mais ce sont des cactus
Abuser des belles choses, ça détruit, ma chérie, je veux qu’tu m’aimes jusqu’à l’infarctus
Ma chérie, le monde est noir, y a pas d’astuce, le cash fait tourner l’monde jour et et nuit
Et même l’amour a un prix : voici la facture, si j’te dois encore des sentiments, déduis
Je suis présent sur le plan s’il me paraît gros
Parce que, crever dans la street, ce n’est pas très beau
Sincère et franc dans tous mes rapports amicaux
Si je n'peux pas plaire à tout l’monde, ce n’est pas mon dos (Tall, Tall, Tall)
[Refrain : Abou Tall & Take A Mic]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
Réveillé à l’aube pour les gros montants (hey-yeah, hé, hé)
Caractère beaucoup trop distant (hey-yeah, hé, hé)
Tu sais qu’c’est précieux, m’fais pas perdre mon temps
(hey-yeah, hé, hé)
Je souris quand tu paies comptant (hey-yeah, hé, hé)
[Couplet 2 : Take A Mic]
Toujours la même hargne et les tripes qu’avant, v’là les obstacles mais le Take avance
J’veux mon cash dans les temps, gros, y a pas d’latence, y a que chez Rolex qu’on peut être patient
On fait l’show, on recompte les tals, négligeant sur aucun détail
Refroidis comme un bout d’métal, j’vais remettre du respect sur l’projet d’Tall
Faut s'serrer les coudes, j’me rends utile, tout est carré comme un bout d’shit
Si j’me mets à débiter, j’sais qu’ils vont péter un fusible, une kichta pour vider la boutique (wouh)
J’ai déjà tout le business plan, en noir dans l’GTI blanc
Mon portefeuille Goyard n’regarde plus le prix de l’essence, rémunéré pour ma présence
Pour m’en sortir, y avait pas dix mille soluces, mon ressenti sur l’instru’ qu’j’maîtrise le plus
Avant d’mettre les pieds dehors, j’débranche mon cœur, plus rien m’fait vibrer comme un bigo sans puce
J’pilote en manuelle, j’suis autodidacte ; dans l’rétro’, j’vois tout l’reste des candidats
Le game est souffrant, j’viens livrer l’antidote, viens pas avec ton flow qui date, envoie
[Refrain : Abou Tall & Take A Mic]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
Réveillé à l’aube pour les gros montants (hey-yeah, hé, hé)
Caractère beaucoup trop distant (hey-yeah, hé, hé)
Tu sais qu’c’est précieux, m’fais pas perdre mon temps
(hey-yeah, hé, hé)
Je souris quand tu paies comptant
[Refrain : Abou Tall]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
[Couplet 1 : Abou Tall]
Trop d’questions, très peu d’réponses (hey), trop d’défonce, très peu d’raison (umh umh)
Trop d'frères qui perdent la raison ou, tout du moins, j’en ai bien l’impression (umh, no, oh, oh)
J’garde le cap sur ma vision, mes buts et mes ambitions
J’compte as-p jouer les macaques ou me mettre à quatre pattes pour toucher du bifton (non)
Le respеct, le statut, on veut les carеsser mais ce sont des cactus
Abuser des belles choses, ça détruit, ma chérie, je veux qu’tu m’aimes jusqu’à l’infarctus
Ma chérie, le monde est noir, y a pas d’astuce, le cash fait tourner l’monde jour et et nuit
Et même l’amour a un prix : voici la facture, si j’te dois encore des sentiments, déduis
Je suis présent sur le plan s’il me paraît gros
Parce que, crever dans la street, ce n’est pas très beau
Sincère et franc dans tous mes rapports amicaux
Si je n'peux pas plaire à tout l’monde, ce n’est pas mon dos (Tall, Tall, Tall)
[Refrain : Abou Tall & Take A Mic]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
Réveillé à l’aube pour les gros montants (hey-yeah, hé, hé)
Caractère beaucoup trop distant (hey-yeah, hé, hé)
Tu sais qu’c’est précieux, m’fais pas perdre mon temps
(hey-yeah, hé, hé)
Je souris quand tu paies comptant (hey-yeah, hé, hé)
[Couplet 2 : Take A Mic]
Toujours la même hargne et les tripes qu’avant, v’là les obstacles mais le Take avance
J’veux mon cash dans les temps, gros, y a pas d’latence, y a que chez Rolex qu’on peut être patient
On fait l’show, on recompte les tals, négligeant sur aucun détail
Refroidis comme un bout d’métal, j’vais remettre du respect sur l’projet d’Tall
Faut s'serrer les coudes, j’me rends utile, tout est carré comme un bout d’shit
Si j’me mets à débiter, j’sais qu’ils vont péter un fusible, une kichta pour vider la boutique (wouh)
J’ai déjà tout le business plan, en noir dans l’GTI blanc
Mon portefeuille Goyard n’regarde plus le prix de l’essence, rémunéré pour ma présence
Pour m’en sortir, y avait pas dix mille soluces, mon ressenti sur l’instru’ qu’j’maîtrise le plus
Avant d’mettre les pieds dehors, j’débranche mon cœur, plus rien m’fait vibrer comme un bigo sans puce
J’pilote en manuelle, j’suis autodidacte ; dans l’rétro’, j’vois tout l’reste des candidats
Le game est souffrant, j’viens livrer l’antidote, viens pas avec ton flow qui date, envoie
[Refrain : Abou Tall & Take A Mic]
J’ai le cœur fracassé
Et l’esprit perdu dans la voie lactée
Là, je n’ai qu’un but, négro : ramasser
J’préfère en avoir trop que pas assez (hey-yeah, hé, hé)
Réveillé à l’aube pour les gros montants (hey-yeah, hé, hé)
Caractère beaucoup trop distant (hey-yeah, hé, hé)
Tu sais qu’c’est précieux, m’fais pas perdre mon temps
(hey-yeah, hé, hé)
Je souris quand tu paies comptant